Avec leur rangée incroyable, pêchez toute la part plusieurs dispositifs d'unification. On est leur bâche ; leur peau est couverte par les balances sans couleur et cutanées. La couleur vient du derme au-dessus et au-dessous des balances. Des quatre types des balances (placoid, cténoïde, cycloïdal, et de ganoid), tous les poissons cartilagineux ont des balances de placoid (ayant une épine ou un ivoire arrondie projetant vers la queue, qui se sent comme le papier sablé), et la plupart des poissons osseux communs de récif ont les balances cténoïdes (mince, transparent, et recouvrant, avec le peigne comme des projections sur le bord libre ; leurs lignes de croissance changent avec l'espèce et la saison).

Le système digestif des poissons est assez simple. Une bouche est le passage pour la nourriture et l'eau (utilisées pour la respiration). Un oesophage court mène à l'estomac et aux glandes digestives. L'anus est antérieur à la queue.

La respiration est conduite par les ouïes. Celles-ci se composent du tissu épithélial filamenteux disposé dans des rangées parallèles minuscules (lamelles). L'ouïe extérieure est couverte par l'ectoderm. Les poissons cartilagineux ont des fentes d'ouïe comme ouverture externe ; les poissons osseux ont un operculum. Les lamelles enlèvent l'oxygène de l'eau passant par les ouïes, et déposent l'anhydride carbonique et la perte azotée gazeuse dans elle. Le déplacement de la majeure partie de l'azote de rebut du corps par les ouïes explique pourquoi les poissons ont les reins rudimentaires des éventuels.

Les systèmes circulatoires des poissons sont analogues à ceux d'autres vertébrés. Ils ont les coeurs ventraux deux-chambrés et les systèmes circulatoires fermés avec les globules rouges qui contiennent l'hémoglobine comme substance oxygène-portante. L'oxygène peut répandre directement dans le sang des ouïes et également par la peau. Ceci peut expliquer pourquoi il n'y a pas vraiment d'hémoglobine dans le sang de poissons (2% dans la plupart des poissons osseux, comparés à 15% chez l'homme).

Pêchez, comme d'autres vertébrés, devez maintenir juste la bonne concentration interne de l'eau et des sels (osmoregulation). Pour combattre l'afflux des sels, les poissons osseux de récif ont les cellules desécrétion spéciales dans les ouïes, les cellules de chlorure, qui enlèvent activement les sels excessifs. Ils produisent ainsi l'urine très petite. Les poissons cartilagineux ont des montants exceptionnellement élevés de composés azotés, tels que l'oxyde d'urée et de triméthylamine (qui élèvent la concentration interne des sels dissous), dans leur sang, leur permettant de maintenir l'eau et d'empêcher le mouvement des sels dans le corps.

Les vessies équilibrent les structures hydrostatiques qui rendent le changement de la profondeur possible sans animal éprouvant des problèmes de décompression. Elles peuvent être les organes respiratoires, mais surgissent habituellement comme ramification du système circulatoire (où les glandes spéciales de gaz commandent le gaz répandant du sang). Pour faciliter les changements rapides de profondeur tout en chassant la proie, les poissons prédateurs actifs souvent n'ont pas une vessie. La plupart des poissons cartilagineux utilisent leur foie particulièrement grand (jusqu'à 70% de leur masse de corps) pour commander leur flottabilité.

En plus des sens vertébrés habituels de la vue, de l'audition, du goût et de l'odeur, les poissons ont une ligne latérale organe qui apparaît extérieurement comme inscription en avant des leurs côtés. Les ouvertures dans la peau mènent aux cellules de neuromast qui détectent des vibrations de basse fréquence, comme change dans la pression de l'eau et l'écoulement courant, directement de l'eau de mer. La ligne latérale est extrêmement importante dans le bain aidant de poissons comme école.